Naxoo est a vendre!

C'est la tribune de Genève qui nous l'apprend, le Conseil administratif a pris la décision de vendre les 51,1% des actions que la Ville de Genève possède dans la société Naxoo 022 Télégenève SA.

La Ville de Genève veut vendre son réseau de télévision. Pagani s'y oppose.
Par Mabut Jean-François, Olivier Francey

L'élu d'Ensemble à Gauche publie un communiqué dans lequel il se désolidarise d'une décision prise hier par le Conseil administratif.

«Je tiens à me distancer de la décision du Conseil administratif prise ce mercredi de vendre les 51,1% des actions que la Ville de Genève possède dans la société Naxoo 022 Télégenève SA, à Cablecom (ndlr: l'autre actionnaire de référence) ou à tout autre investisseur intéressé. »

Le torchon brûle au sein de la majorité de gauche de la Ville de Genève. L'information est tombée peu avant midi sous la forme d'une lettre de deux pages transmise aux médias. Les conseillers administratifs Pierre Maudet et Sandrine Salerno annoncent d'ores et déjà la mise en place d'une conférence de presse, cet après-midi à 16 h 30.

Rémy Pagani dénonce la volonté de «brader le téléréseau de la ville à une multinationale (Cablecom) qui rapatriera l'ensemble de la technologie ainsi qu'une grande partie des postes de travail à Zurich ou plus loin, à son siège social qui se trouve aux Pays-Bas». L'élu craint des effets collatéraux sur Léman Bleu, dont Naxoo possède 910 des 3384 actions.

Les actions de la Ville intéressent-elles le premier câblo-opérateur de Suisse? Son porte-parole y répond clairement : «En général, toutes les possibilités d’acquisition sont intéressantes à nos yeux.» L’entreprise Naxoo vous intéresse-t-elle ? «Je ne peux pas vous le confirmer.»

«Ça alors!» La réaction du patron de Léman Bleu, Charles André Aymon, cache une fausse surprise. Le directeur de la chaîne locale de télévision ne souhaite en l'état commenter ni la nouvelle ni le cavalier seul du magistrat d'extrême gauche. Par le biais d'un communiqué, le conseil d'administration a souhaité «souligner que cette vente éventuelle et/ou son retrait du capital-actions de Léman Bleu n'aurait aucun impact sur la télévision locale genevoise».

Dans sa lettre adressée aux représentants de la presse et des médias, Rémy Pagani explique que cette décision met en péril plus d'une centaine d'emplois et la diversité des chaînes offertes. La vente des actions que la commune de Genève possède dans Naxoo serait motivée par la perspective d'une baisse de rentabilité. «Une décision paradoxale, accuse le magistrat, au moment où Naxoo, qui réalise un chiffre d'affaires de 40 millions, a bouclé l'année 2011 sur un bénéfice d'un million de francs.»

Source : http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/ville-veut-vendre-reseau-television-pagani-s-oppose/story/20304029

O putain la tuille !

M. Pagani résistez ! Allez faire alliance avec Citycable ou Netdream mais pas avec Cablecom !!!!!!!!!!!

Pour info,

Naxoo appartient déjà à Cablecom à 49 % depuis plusieurs années.

Encore une grande décision de prise...

Zürich + 100 Genève - 100

L'équipe Maudet joue au Monopoly.....

Affranch a écrit:Pour info,

Naxoo appartient déjà à Cablecom à 49 % depuis plusieurs années.

Justement, c'est les 49% que la ville devrait racheter, pour ce débarasser de ce cancer de l'audiovisuel qu'est cablecom

Selon Mme Salerno conseillère administrative, le spectre d'une délocalisation est ridicule, car les clients sont à Genève.

Chère Mme Salerno, pour votre information, toutes les chaines peuvent être émises depuis Zürich par un simple changement de ''cable''.

Tout ceci pour vous informer qu'une grande partie des employés risque de pointer au chômage. Bien entendu à Genève il n'y a pas assez de problème. On va juste en rajouter un peu.

La majorité des services seront délocalisés ou tout simplement supprimés car en doublon avec Zürich.

Monsieur Maudet déplore les déclarations (de Monsieur Pagani) intempestives, irresponsables et irrespectueuses, en particulier envers les employés de Télégenève SA qui n'étaient pas encore au courant.

Merci à Monsieur Pagani pour avoir osé faire cette déclaration. Rassurez -vous Monsieur Maudet, les employé s'en remettront certainement de ne pas avoir été averti avant.

Par contre, aucun doute qu'ils retiendront que sous votre manadat leur avenir devint incertain.

Une fusion est acceptable, peut importe le candidat fiable

conditions:

• services vente, technique et administration par de vrais francophones
  
• la direction emploi de vrai romands qui décides les chaines francophones et internationales liés à la population en romandie,
  
• toute les chaines françaises diffusées en numérique en clair en provenances TNT/SAT figure dans le prix du raccordement y compris HD
  
• diffusion en clair DVB-C pour les chaines dites gratuites (éviter les doublons DVB-T)
  
• avec cryptage viacess , conax ou autre en CI+ non propriétaire en norme DVB pour les chaines à péages francophones et internationales
  
• sans aucune surcompression de la source.

J'espère n'avoir rien oublié d'essentiel ☺

Si Naxoo est à vendre c'est donc le tout Naxoo qui est toucher ?

Car dans plusieurs région du Valais il y a Naxoo ?

Georges 5

Oui mais en Valais, il disparaîtra en septembre 2012 au profit de netdream

Je souhaiterais surtout que la concurrence soit également sur le téléreseau et pas seulement les opérateurs télécom.

Donc en Valais plus de Naxoo en septembre que du Netdream.

et Upc-Cabllecom dans tout ça va aussi disparaitre en Valais

au profit de Netdream qui va certainement s'élargir ?

Il n'y a aura plus trace d'UPC Cablecom en Valais dès l'automne.

Jm

Mesdames les Conseillères municipales,
Messieurs les Conseillers municipaux,

Je me permets de vous écrire pour faire suite à un article de ce jour paru sur le site de la Tribune de Genève évoquant la possible vente par la Ville de Genève de 022Télégenève/Naxoo à UPC-Cablecom. La technique est parfois un monde opaque et les réseaux câblés comme ceux de 022Télégenève/Naxoo n’échappent pas à la règle.

Ingénieur en télécommunications et spécialiste des réseaux câbles en Suisse, je souhaite vous mettre en garde contre les conséquences possibles d’un abandon total à UPC-Cablecom du réseau câble de Genève et dans le but de vous soumettre à votre attention différents éléments de ce dossier. Je précise que je n'ai aucun intérêt de quelque nature que ce soit avec les différents acteurs de Suisse romande en ce domaine.

Je rappellerai en premier lieu le caractère monopolistique naturel qui existe dans tous réseaux câblés. Un téléréseau agit de fait comme un monopole naturel, car sa construction est onéreuse et les clients sont généralement captifs, les frais de raccordement au téléréseau étant quasi systématiquement inclus dans les loyers des appartements.

Revenons à la vente de 022Télégenève/Naxoo par la Ville de Genève. Une question identique s’est posée il y a cinq ans à Lausanne : vendre à Cablecom ou conserver l’autonomie ? La ville de Lausanne a opté pour l’autonomie de la gestion de son réseau câble vis-à-vis de Cablecom, en créant son propre réseau nommé Citycable. Depuis lors, Citycable est très régulièrement cité en exemple des réseaux câbles à vocation de service public. Il s'avère bien plus attractif que Cablecom, en proposant un large choix de programmes (140 chaînes de base à Lausanne contre 38 actuellement à Genève) pour un prix de raccordement mensuel similaire à Genève. Lausanne a opposé une farouche résistance à Cablecom avec, au final, un incroyable succès pour sa population et sa région. Nombre de communes limitrophes de Lausanne ont d'ailleurs quitté Cablecom pour reprendre les signaux de Citycable : outre Lausanne (y compris Chalet-à-Gobet, Montblesson, Vers-chez-les-Blancs), on citera Prilly, Le Mont, Epalinges, Savigny, Jouxtens, Morrens, Cugy, Froideville, Bretigny, Bottens. Site internet : http://www.citycable.ch

UPC-Cablecom a à maintes reprises démontré son but : générer du profit et revendre ses réseaux une fois ceux-ci assainis et fortement bénéficiaires. Ce fut déjà le cas en France (vente de Numéricable en 2006), en Italie, en Espagne et tout récemment en Belgique (Vente à Telenet). Il n’y a pas de raison que la Suisse échappe à moyen terme à cette logique. UPC-Cablecom se déplace progressivement vers les pays de l’est de l’Europe à forte croissance et revend, souvent avec de fortes plus-values, son réseau de l’ouest de l’Europe. En Suisse, elle cherche à mettre la main sur tous les réseaux possibles, de façon à pouvoir vendre à terme un lot intéressant.

Pour augmenter son cash flow, UPC-Cablecom maintient comme offre de base (soit celle fournie avec le raccordement mensuel, 26 CHF, souvent liée au bail) une série de prestations bas de gamme (nombre de chaînes réduit et technologie de diffusion obsolète, soit la diffusion analogique). Elle condamne ses clients à débourser davantage pour obtenir un service digne des évolutions techniques que l'on peut attendre en 2012. En effet, pour fournir davantage de chaînes, la télévision numérique ou la haute définition HD, UPC-Cablecom fait systématiquement payer des suppléments. Or, les chaînes proposées dans ces offres sont souvent disponibles gratuitement par satellite ! Cette société profite donc de l'ignorance ou de l'absence d'alternative de sa clientèle en la matière : faire payer des suppléments pour accéder au numérique ou à la haute définition, c’est comme si l’arrivée de la couleur ou du télétexte avait été taxée en leur temps.

Il faut bien comprendre que les chaînes gratuites disponibles sur le satellite, et que UPC-Cablecom crypte à fin vénale, sont comprises dans de nombreuses offres de base - à Lausanne par exemple - et n'ont rien à voir avec des chaînes "premium" spécialisées. Il s'agit par exemple de chaînes nationales de différents pays. La technologie évolue très vite et il n’est pas nécessaire de confisquer cette évolution en la monnayant. Les offres des téléréseaux de Citycable (Lausanne) ou NetDream (Vaud, Valais) démontrent parfaitement qu’il est possible de respecter sa clientèle, d'agir comme un service public et de constituer un service commercial rentable. Ceci n'empêche nullement tout un chacun de s'abonner en outre à des chaînes payantes (comme CanalPlus, les chaînes sportives, etc.).

Un nombre important de câblo-opérateurs romands indépendants ou publics se sont du reste récemment désolidarisés d'UPC-Cablecom. A Genève, la COGERIM qui gère la cité des Avanchets a décidé de rompre avec Cablecom, il y a de cela deux ans, pour créer son propre téléréseau. En outre, en Suisse Romande, a été fondé le réseau NetDream, principalement dans les cantons du Valais, de Vaud et de Fribourg. Site internet : http://www.netbox.ch

Liste des téléréseaux partenaires NetDream :

- SEIC TELEDIS Groupe, Vernayaz
- L'Energie de Sion-Région SA, Sion
- Sierre Energie SA, Sierre
- Sinergy Commerce SA, Martigny
- Sateldranse SA, Le Châble
- TRN Téléréseau de la Région Nyonnaise SA, Nyon
- SEIC Société Electrique Intercommunale de la Côte SA
- Société Electrique des Forces de l'Aubonne SA, Aubonne
- Gruyère Energie SA - VisionSud, Bulle

Il serait donc envisageable pour 022Télégenève/Naxoo, plutôt que de se vendre à UPC-Cablecom, de se rapprocher de NetDream ou de Citycable, deux acteurs indépendants de Suisse romande. Une collaboration étroite entre Naxoo et Citycable ou NetDream offrirait à la population genevoise une véritable offre de programmes diversifiée, flexible, et réactive. Ce choix préserverait l’autonomie du réseau genevois tout en réduisant une partie des coûts, de par la collaboration ou la reprise de signaux déjà mis en forme par NetDream ou Citycable.

Rappelons que la Ville de Genève possède 51% de 022 Télégenève/Naxoo ; il est donc grand temps qu'elle pèse sur l'avenir de 022-Télégenève/Naxoo, dont les orientations ont été largement déterminées par UPC-Cablecom, un actionnaire minoritaire. La Ville de Genève doit prendre conscience qu’elle a une carte à jouer en reprenant le leadership au sein de 022Télégenève/Naxoo. A notre époque, une ville, qui plus est à vocation internationale, doit défendre son attractivité avec un réseau de communication performant et moderne. Quelle que soit la qualité du service d'UPC-Cablecom, il paraît évident que cette structure pense avant toute chose à son profit, et non à l'image de notre cité, ni aux finances de ses abonnés (puisqu'ils débourseraient comparativement bien plus que leurs voisins romands s'ils voulaient obtenir un service comparable). Sans même parler de service public, il serait fort déraisonnable de ne pas encadrer un monopole naturel et de laisser toute latitude au détenteur du monopole en question pour faire son marché.

Depuis des années, UPC-Cablecom aurait eu largement le temps d'adapter son offre ; il s'agit donc d'une volonté délibérée de sa part de cloisonner ses clients à des signaux analogiques. Le reste de l’Europe a abandonné cette technologie et est passé au numérique (par exemple la TNT), qui offre une qualité d'image supérieure. La Suisse et la SSR ont elles aussi abandonné la diffusion analogique terrestre depuis 2007. Citycable et NetDream ont également fait le choix du numérique pour tous. Ces deux structures proposent par ailleurs toute la palette des services habituellement disponibles sur le câble (téléphonie, internet ou vidéo à la demande) ; il s'agit désormais du service minimum pour des câblo-opérateurs que de développer des prestations multimédias. On ne peut donc parler en ce domaine de point fort ou de prestation supplémentaire d'UPC-Cablecom par rapport à ses concurrents.

Enfin, il faut noter que la réception télévisée par la ligne téléphonique ADSL (soit la TV par Internet comme SwisscomTV, SunriseTV), qu'on entend beaucoup vanter, présente une capacité de transmission bien moindre qu'un réseau câble et sera à terme limitée par la capacité du réseau téléphonique. Il convient donc de ne pas renoncer aux services d'un câblo-opérateur.

Je vous enjoins donc de prendre exemple sur la Ville de Lausanne ou le réseau NetDream et d'éviter à notre canton une Genferei qui sera d'autant plus lourde de conséquences dans 10 ou 15 ans, lorsque les réseaux de communication auront encore gagné en importance dans notre vie quotidienne. Je reste bien sûr à votre disposition pour tout renseignement complémentaire et vous remercie chaleureusement de l'attention que vous aurez portée à ce message.

Veuillez agréer, Mesdames les Conseillères municipales, Messieurs les Conseillers municipaux, l'expression de mon plus profond respect.

TDG d'aujourd'hui

...Les explications de la Ville

Pour la Municipalité, la configuration actuelle n’est pas optimale. La Ville est en effet actionnaire majoritaire de l’opérateur Naxoo (51,1%) aux côtés de la société Cablecom (48,9%). Mais elle est également indirectement impliquée dans un autre projet concurrent: l’installation d’un réseau de fibre optique, gérée par Swisscom et les Services Industriels, dont elle est actionnaire à hauteur de 30%. En clair, la Ville est à la fois concurrente et partenaire. Une position qualifiée de schizophrénique par Pierre Maudet.

Autre élément qu’invoquent les magistrats: la nature même de l’implication d’une collectivité publique dans le développement d’un réseau câblé. «Aujourd’hui, clairement, l’activité déployée par Naxoo ne répond plus à une mission de service public», argumente Sandrine Salerno.

La Ville soumettra le projet au Conseil municipal le mois prochain, espérant pouvoir tirer profit de la vente de ses actions pour «au moins» 55 millions de francs.

Oups , pardon j'avais oublié de vous dire qu'il y a un sondage sur la vente ( ou pas) de Naxoo et vos commentaires sont les bienvenus :-)

Pour moi la ville fait fausse route. Naxoo a besoin de se développer mais pourquoi vouloir tout faire soit-même à Genève dans son coin et ne pas collaborer avec les cantons voisins ?

La ville de Genève devrait conserver Naxoo et simplement rejoindre le réseaux netDream (www.netbox.ch) qui c'est récemment créé en Suisse romande plutôt que de se vendre a un opérateur basé au pays Bas avec son siège en Suisse allemande, qui plus est un acteur avec toutes les tares et le peu de considération de ses clients qu'on lui connais...

La ville de Nyon est bien chez netDream, Nyon c'est à coté de Genève. L'argument avancé par l'executif de la ville est que Naxoo perd des clients face à la concurrence de SwisscomTV. Or si la ville vend à Cablecom la fuite sera d'autant plus grande car l'offre sera réduite par Cablecom pour coller à ce qu'ils font ailleur en suisse !

Il faut que Naxoo propose une véritables offre digne de 2012 pour ce faire elle doit collaborer avec d'autres réseaux ouvert ou de collectivités publique comme netDream ou Citycable à Lausanne.

Je suis sure que Naxoo à beaucoup a apporter à netDream et vice-versa. Faire le choix de Cablecom est un mauvais choix qui risque d'avoir des conséquence fâcheuse à terme. Car Cablecom va tôt ou tard quitter la suisse en revendant son réseau. Cablecom à vendu ses réseaux en Espagne, Numericable en France (en 2006) et tout récemment en Belgique.

Atari , super billet et je suis tout à fait d'accord avec vous :-)

@Atari Sur le fond je suis d'accord avec toi, mais l’argument qu'il est illogique que le canton dispose de deux société avec une infrastructure en concurrence est recevable.

Je rejoint un peut l'idée de Pascal Martin, selon moi il aurai été plus judicieux de fusionner Naxoo avec les SIG et ainsi offrir les service de télévision aussi sur le réseau SIG. Mais évidement le fait que Cablecom soit propriétaire de 49% rend la chose impossible car ils refuseraient de céder leurs parts.

A Lausanne, depuis que la ville dicte les orientations de Citycable, Cablecom, qui détient une partie de Citycable, à annoncer vouloir s'en défaire.

Si La ville de Genève dicte les orientations de Naxoo il est possible que Cablecom désire également, à terme, vendre ses parts et pourquoi pas aux SIG ? Ca serait le retour à une situation antérieure.

Avant de faire pleins de plans sur ce qu'il faudrait faire et à qui il faudrait vendre, il faudrait déjà connaître un peu la structure de la société. Avec un partage 51/49, je me demande si il n'y a pas une clause qui oblige Genève à proposer d'abord à UPC-Cablecom ses parts et seulement à quelqu'un d'autre en cas de refus de UPC-Cablecom ?

Je pense que ça sera forcément vendu à UPC-Cablecom, la connerie ayant été faite il y a plusieurs années de vendre les 49% pour éviter les investissements de la voie de retour.

Un article dans le 20 min, la peur des syndicats

http://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/Naxoo--Syndicom-denonce-la-methode-Pagani-19107290

Quant au futur de l'entreprise, le syndicat écrit qu'il restera attentif à la suite des événements. Le repreneur, probablement Cablecom, devra maintenir la convention collective de travail en vigueur, durant un an au moins, explique Fabienne Brunner. Syndicom veillera enfin à ce que le nouvel actionnaire majoritaire garantisse le maintien de tous les emplois basés à Genève.

Je pense aussi que l'intérêt de UPC Cablecom qui s'intéresse d'un coup à la Suisse romande et à rajouter pas mal de chaînes le 5 juin et durant l'été avec 23 chaînes francophones et sans doute d'autres cet automne, c'est pour proposer les offres 100% UPC Cablecom dans toute la Suisse romande y compris les réseaux actuellement qui ont l'offre Naxoo et qui seront certainement rachetés par l'artichaud

Donc c'est dans l'intérêt de UPC Cablecom de proposer une offre Digital TV DVB-C aussi proche que celle de Naxoo, sinon il y a un fort risque que la fuite vers Swisscom soit encore plus importante

Atari a écrit:A Lausanne, depuis que la ville dicte les orientations de Citycable, Cablecom, qui détient une partie de Citycable, à annoncer vouloir s'en défaire.

Si La ville de Genève dicte les orientations de Naxoo il est possible que Cablecom désire également, à terme, vendre ses parts et pourquoi pas aux SIG ? Ca serait le retour à une situation antérieure.

ça serait non plus pas tout rose à Lausanne.... A suivre

Atari, ta envoyé une lettre?

Excellente lettre d'ailleurs! J'espère qu'ils vont t'entendre!!!

Bande de nazes!!! -_-

+1 Atari
excellente réplique


naxoo partenaire de Netdream en DVB-T pour les chaines en clair et STB IPTV obligatoire pour les chaines à péages
ou
naxoo en partenariat avec les service industriels de Genève ?
ou
lueur d'espoir de la part de UPC-Cablecom en DVB-C pour les chaines en clair et STB obligatoire CI+ ou mini décodeur CI+ pour les chaines à péages

C'est beau de rêver ;-)
En cas de rachat , je crains que cablecom fera hélas ... du cablecom :-(

Guestt a écrit:C'est beau de rêver ;-)
En cas de rachat , je crains que cablecom fera hélas ... du cablecom :-(

Il y a en effet de forte probabilité

JM